Le groupe de travail « animaux de rente » développe une norme de données
Les acteurs qui travaillent avec des données sur les animaux veulent développer une norme de qualité élevée et largement acceptée pour les données sur les animaux de rente. C'est pourquoi le groupe de travail sur les animaux de rente, un sous-groupe du groupe spécialisé eCH AgriFood, s'est attelé à cette tâche.
Ce développement commun et largement soutenu est une tâche difficile. À long terme, la normalisation apportera cependant des avantages à toutes les parties concernées : la qualité des données sera améliorée, les erreurs et les malentendus seront réduits, les efforts nécessaires à l’échange et au traitement des données seront réduits et la mise en œuvre cohérente du principe « once only » sera rendue possible. Les utilisateurs de systèmes logiciels n’auront certes pas de contact direct avec la norme, mais ils bénéficieront d’un transfert de données entre les systèmes nettement plus simple, plus sûr et plus fiable.
Toutes les vaches ne se ressemblent pas… Selon le point de vue, le même animal est considéré de manière différente, en mettant l’accent sur des caractéristiques différentes. Au fil du temps, les agriculteurs, les transformateurs, les vétérinaires, les représentants des autorités et d’autres acteurs ont développé leurs propres catégories, dont ils ont besoin pour leur travail. Il en résulte des catégories et des chiffres clés différents. La norme s’appuie sur les systèmes existants et définit une structure de données qui couvre tous les besoins – nous identifions le plus petit dénominateur commun.
Un exemple tiré des paiements directs : les catégories d’animaux se composent souvent d’une combinaison de l’espèce, du sexe et de l’âge (par exemple, femelles âgées de 365 à 730 jours). La norme définit cette catégorie comme espèce animale (bovin), sexe (femelle) et âge (calculé à partir de la date de naissance). Cela permet de s’assurer que l’éleveur n’a à saisir ses données qu’une seule fois et que celles-ci peuvent ensuite être échangées entre les systèmes.
Une norme de données stable reste constante sur une longue période, tandis que les systèmes logiciels sont souvent mis à jour plus rapidement.
Après les deux premières réunions du groupe de travail en avril et en juin, quatre groupes de travail se sont formés, qui s’occupent des domaines techniques suivants :
- Animaux seuls et groupes d’animaux
- Données agrégées sur les animaux et les cheptels
- Données sur la santé
- Données de production et d’élevage
Les groupes de travail ont commencé leurs activités en septembre 2024 et ont bien démarré. Le centre de compétences pour la transformation numérique et le centre de compétences en matière de données de l’Office fédéral de la sécurité des infrastructures critiques (BSI) soutiennent le groupe de travail dans son développement.
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Livre électronique : Les technologies numériques dans l'agriculture
L'e-book "Les technologies numériques dans l'agriculture" offre un aperçu pratique des principales technologies numériques pour l'agriculture suisse - des systèmes de gestion de ferme à l'exploitation spécifique des surfaces partielles. Idéal pour tous ceux qui souhaitent comprendre la transition numérique et en tirer profit.
Ce média spécialisé est disponible sous forme de livre électronique pour PC, tablette ou smartphone et correspond à 125 pages de livre. Il est publié par l’éditeur de matériel pédagogique edition-lmz et a été développé en partenariat avec les institutions suivantes : Agrofutura, AGRIDEA, BFH HAFL, Bildungszentrum Wallierhof, Technique agricole suisse et Swiss Future Farm.
L’ouvrage numérique de référence contient les chapitres suivants :
- 01 Introduction et aperçu de la technologie
- 02 Systèmes de gestion et d’information agricoles (FMIS) en production végétale
- 03 Systèmes de conduite en parallèle
- 04 Contrôle du débit basé sur des satellites et des capteurs (Section Control)
- 05 Systèmes de piratage basés sur des capteurs
- 06 Gestion spécifique des sous-surfaces
- 07 Principes de base de la gestion numérique du troupeau laitier
- 08 Systèmes mondiaux de navigation par satellite
- 09 ISOBUS – Transmission numérique normalisée des données dans les machines agricoles
1ère édition 2021, ISBN 978-3-03888-346-3, CHF 59
F. Abt, Swiss Future Farm ; D. M. Flury, Centre de formation Wallierhof ; M. Holpp, Agrofutura ; R. Hunger, Technique agricole suisse ; M. Rösch, AGRIDEA ; B. Streit, BFH HAFL
En complément du livre électronique, vous pouvez télécharger ici un résumé de quatre pages (en allemand) : DITELA_Print
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Nouveau calculateur climatique standard pour les exploitations laitières suisses
L'Interprofession du lait lance d'ici mi-2025 un calculateur climatique standard pour les exploitations laitières suisses. L'empreinte de gaz à effet de serre par kilo de lait sera ainsi mesurable - une base importante pour une meilleure protection du climat tout au long de la chaîne de valeur.
L’Interprofession du lait (IP Lait) introduit un calculateur climatique standard pour les exploitations laitières suisses. Celui-ci permet de relever chaque année l’empreinte de gaz à effet de serre par kilo de lait. Cette valeur sensibilise les chefs d’exploitation à la question climatique et sert de base à la chaîne de création de valeur pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre. La branche élabore ainsi la ligne de base nécessaire à cet effet et indique les progrès réalisés. L’utilisation du calculateur climatique ou l’achat de lait contrôlé climatiquement sont facultatifs pour tous les niveaux de la chaîne de valeur. Toutefois, les producteurs de lait reçoivent une compensation financière pour la collecte de leurs données et leur mise à disposition aux niveaux suivants de la chaîne de valeur.
En collaboration avec Barto, la MOB s’efforce de rendre l’ordinateur opérationnel d’ici la mi-2025. Le principe du “once-only” et la saisie des données par interface qui en découle sont une priorité absolue. D’une part, cela rend le calculateur facile à utiliser et d’autre part, cela garantit la plus grande plausibilité possible des données saisies. L’intégration possible du calculateur de climat dans l’univers Barto contribue en outre à sa convivialité.
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AgroImpact : Une Alliance Innovante pour Décarboner l'Agriculture Suisse
Avec le soutien des cantons, AgroImpact rassemble industriels, chercheurs et agriculteurs pour réduire l’empreinte carbone de l’agriculture en Suisse romande. Grâce à des mesures adaptées et à la digitalisation, l’association œuvre pour une production agricole durable et économiquement viable.
Avec le soutien des cantons, l’association AgroImpact a été créée, regroupant des industriels, des associations d’agriculteurs de Suisse romande, des chercheurs, des associations environnementales ainsi que des agriculteurs, afin de réduire l’empreinte carbone des produits agricoles et de trouver une réponse pratique au changement climatique. Au sein d’AgroImpact, les acteurs de la filière agroalimentaire travaillent ensemble pour mettre en œuvre concrètement la décarbonisation de la production agricole dans les exploitations – grâce à des mesures efficaces choisies individuellement par les agriculteurs et agricultrices et sans compromettre la viabilité économique des exploitations.
AgroImpact s’inscrit dans la digitalisation de l’agriculture en simplifiant notamment la collecte de données.
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L’outil d’évaluation d’impact environnemental CAP’2ER
Développé par l’Institut de l’Elevage, CAP’2ER calcule l'impact environnemental des exploitations agricoles, couvrant différents ateliers comme l’élevage et les grandes cultures. Testé depuis 2020 en Suisse, cet outil multilingue aide les conseillers à mettre en place des actions concrètes pour une agriculture durable.
L’outil CAP’2ER, acronyme de « Calcul Automatisé des Performances Environnementales pour des Exploitations Responsables », a été développé il y a plus de 10 ans par l’Institut de l’Élevage en France (IDELE) pour répondre aux besoins du conseil de terrain. Cet outil multicritère analyse à la fois les impacts environnementaux et les contributions positives, s’inscrivant ainsi dans une démarche globale de conseil.
CAP’2ER permet de calculer l’impact environnemental de plusieurs ateliers : bovins laitiers, bovins viande, petits ruminants, grandes cultures et prochainement volaille/pondeuses et production porcine (pour l’instant en France). L’outil est multilingue et dispose d’une version simplifiée (niveau 1, gratuit, pour sensibiliser) et d’une version approfondie (niveau 2, uniquement accès par des conseillers formés) pour la prise de décision et la mise en place de plan d’action. CAP’2ER est testé depuis 2020 dans les exploitations en Suisse. Répondant favorablement aux besoins du dispositif de l’association AgroImpact, CAP’2ER est l’un des outils utilisés à satisfaction par les conseillers.
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WORLD-CLIMATE Farm Tool : Bilan climatique pour les exploitations agricoles
La comptabilité climatique est de plus en plus importante pour les exploitations agricoles. Il s’agit pour l’agriculteur de connaître son propre bilan climatique pour l’ensemble de l’exploitation et l’empreinte climatique de ses produits. Des améliorations peuvent être apportées progressivement dans l’exploitation sur la base de cette analyse et être communiquées de manière positive au marché et aux acheteurs. Les exploitations agricoles innovantes utilisent déjà le bilan carbone comme un instrument de qualité et de vente pour leurs produits et renforcent ainsi leur position sur le marché, même par rapport à leurs concurrents.
Ueli Steiner, directeur de bio.inspecta AG, a présenté le WORLD-CLIMATE Farm Tool à un large public lors de la manifestation Digispot d’Agridea. Afin de disposer d’un outil efficace et pertinent sur le marché, bio.inspecta a développé à cet effet son propre outil d’enquête et de calcul, le WORLD-CLIMATE Farm Tool. Les résultats sont très informatifs, car ils présentent de manière claire et graphique aussi bien l’exploitation en elle-même que les produits qui y sont fabriqués (lait, viande, œufs, légumes, prairies, cultures arables,…). Sur cette base, le chef d’exploitation identifie les mesures d’amélioration possibles et les met en œuvre dans l’outil en ligne et sur l’exploitation.
L’outil peut être utilisé par les exploitations biologiques et par d’autres exploitations agricoles et est le seul outil sur le marché à offrir cette fonctionnalité complète. Pour les exploitations biologiques en particulier, il s’agira à l’avenir de mettre en avant et d’indiquer le bilan climatique comme un critère de qualité supplémentaire pour l’exploitation mais aussi pour les produits biologiques de haute qualité. Il s’agit de l’une des plus grandes opportunités pour l’agriculture biologique de continuer à se distinguer sur le marché avec ses prestations.
Nous sommes bien entendu à votre disposition pour toute information complémentaire.
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Rénovation de la BDTA : le transport des animaux repensé
La Banque de données sur le trafic des animaux (BDTA) actuelle date de 2011 et, malgré des améliorations permanentes, l'architecture du système n'est plus à la pointe de la technologie. Identitas AG va donc renouveler progressivement la BDTA d'ici 2030, afin d'en optimiser l'utilisation et la mobilité.
La BDTA constitue la base de la traçabilité des animaux d’élevage qui y sont enregistrés. Il s’agit d’une contribution importante à la sécurité alimentaire et à la lutte contre les maladies animales. Identitas AG gère la BDTA pour le compte de l’Office fédéral de l’agriculture et attribue des marques auriculaires uniques pour l’identification des animaux à onglons.
Le temps du renouveau
La base technologique a pris de l’âge. En même temps, la disponibilité et la satisfaction des clients vis-à-vis de la BDTA restent très bonnes. Son fonctionnement peut toujours être assuré. De nouveaux concepts et technologies promettent toutefois d’autres améliorations ou gains d’efficacité, mais l’exploitation courante ne doit pas être perturbée.
Un échange étroit avec les utilisateurs du TVD a permis d’évaluer leurs besoins et de redéfinir les objectifs stratégiques :
Un début réussi
Pour que l’on puisse continuer à compter sur la BDTA, l’accent a été mis ces trois dernières années sur le renouvellement des fondations techniques. Un premier projet de mise en œuvre “Accounting” fait ses preuves depuis 2024 dans l’architecture de microservices visée. Outre la haute disponibilité, la BDTA rénovée doit offrir une valeur ajoutée aux utilisateurs, réduire les frais de support et présenter une plus grande flexibilité en matière de maintenance.
Au cours des prochaines années, les autres modules du TVD seront progressivement renouvelés.
Identitas AG s’efforce d’offrir une expérience utilisateur intuitive et moderne, dans le but d’améliorer encore les besoins des solutions mobiles en particulier. Les parties prenantes sont impliquées en permanence dans ce processus et les commentaires peuvent ainsi être pris en compte dans les étapes ultérieures de développement.
Restez à l’écoute ! Nous serons heureux de vous tenir régulièrement informés de l’état d’avancement du renouvellement de la BDTA par ce canal également.
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Agroscope : Des technologies intelligentes pour une agriculture durable
Dans l'agriculture moderne, l'utilisation de technologies avancées joue un rôle de plus en plus important pour répondre aux défis du changement climatique, de la conservation des ressources et de la protection des récoltes. Dans cet article, nous présentons deux approches innovantes développées par Agroscope : des systèmes de caméras intelligentes pour repousser les corbeaux et des dendromètres pour optimiser l'approvisionnement en eau des arbres. Ces deux technologies visent à améliorer l'efficacité tout en proposant des solutions respectueuses de l'environnement.
Systèmes de caméras intelligentes contre les corbeaux
Le premier des deux sites testés.
Le deuxième, des deux sites testés.
L’interface visuelle pour l’utilisateur, accessible en ligne. Les lignes bleues correspondent au nombre d’oiseaux détectés (axe des y) et les lignes verticales en pointillés indiquent le taux de rejet des oiseaux par l’appareil au fil du temps (axe des x).
Les corbeaux constituent un problème majeur pour de nombreux agriculteurs, car ils s’habituent rapidement aux mesures de défense courantes. C’est pourquoi Agroscope travaille sur un système de caméra intelligent qui détecte les corbeaux en temps réel et émet des signaux acoustiques ciblés pour les faire fuir. Cette méthode réduit les stimuli inutiles et augmente l’efficacité de la défense. L’année prochaine, les tests se poursuivront en Suisse romande et dans la Station d’essais Technologies intelligentes dans l’agriculture dans les cantons de Thurgovie et de Schaffhouse.
Dendromètre pour une irrigation à la demande
Parallèlement, Agroscope étudie un nouveau système d’irrigation qui surveille la dynamique de l’eau des arbres à l’aide de dendromètres. Ces capteurs détectent les variations du diamètre du tronc et permettent une irrigation précise et économe en ressources. Les premiers résultats montrent qu’il est possible d’économiser jusqu’à 30 % d’eau sur les pommiers sans affecter les rendements. D’autres résultats de recherche sont attendus pour la fin de l’année.
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Prévision de la récolte avec l'intelligence artificielle dans les vergers
La Fruit-Union Suisse établit chaque année une estimation de la récolte des fruits à pépins de table. Depuis 1986, la "méthode Bavendorf" a été utilisée à cet effet. En 2018, la Fruit-Union Suisse et Swisscofel ont commencé à développer l'application pour smartphone PreApPear en collaboration avec Prognosix AG de Zurich. Aujourd'hui, cette application permet d'estimer la récolte des fruits à pépins de table à l'aide de l'intelligence artificielle (IA).
L’IA s’appuie sur différentes sources de données, dont plus de 100 stations météorologiques régionales qui fournissent des données sur la température, les précipitations et les heures d’ensoleillement. A cela s’ajoutent des informations sur le développement des fruits et les stades phénologiques des dix dernières années. Sur la base de ces données, l’IA analyse des photos récentes des cultures fruitières, compte automatiquement les fruits et en tire une estimation nationale de la récolte. Pour que celle-ci soit fiable, l’IA a besoin de photos d’au moins 50 parcelles par variété et par région. Cette année, plus de 20 000 photos de pommiers et de poiriers ont été collectées et utilisées pour l’analyse des données et l’estimation subséquente de la récolte.
L’IA apprend en permanence et devient plus précise à mesure qu’elle dispose de plus de photos et de données. A l’avenir, les producteurs devraient pouvoir utiliser l’application pour des estimations de récolte spécifiques à leur exploitation. Pour que cela fonctionne de manière fiable, l’application doit être utilisée pendant plusieurs années afin que l’IA puisse prendre en compte les particularités de chaque parcelle dans ses calculs.
Vous souhaitez en savoir plus ou utiliser vous-même l’application PreApPear la saison prochaine ? Vous trouverez ici toutes les informations utiles :
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Rétrospective de la réunion annuelle de la communauté de la charte de digitalisation 2024
Le 4 juin 2024, le congrès annuel de la communauté de la charte pour la digitalisation de l’agriculture et du secteur agroalimentaire suisses s’est tenu cette année à la HAFL avec pour thème “L’agriculture et l’industrie alimentaire basées sur les données” et a réuni environ 70 participants. L’agriculture évolue rapidement.
De plus en plus de technologies numériques font leur apparition et génèrent des données.
Ces données peuvent constituer une aide précieuse à la gestion de toute exploitation agricole, tant du point de vue économique qu’écologique.
C’est la raison pour laquelle le congrès annuel 2024 de la communauté de la charte de digitalisation avait pour thème “L’agriculture et l’agroalimentaire basés sur les données”.
Les participants ont eu l’occasion d’assister à de nombreuses conférences passionnantes qui leur ont donné un aperçu des efforts actuels, des systèmes utilisés actuellement et des perspectives d’avenir.
En outre, les intervenants ont donné un aperçu de projets concrets et d’expériences tirées de la pratique agricole.
Vous trouverez ici les présentations du congrès annuel :
- Intelligence artificielle: exemples d’applications et tendances actuelles / M.Volpi
- Opportunités et risques de l’IA / D.Küonen
- Aides à la gestion dans la production végétale / S.Odermatt
- Clôtures virtuelles pour le pâturage / M.Probo
- Systèmes de production en réseau, autonomie et gestion de l’information – éléments déterminants pour les machines agricoles du futur / P.Pickel
- Prévision du rendement en matière sèche des pâturages avec des images UAV (drones) et un modèle numérique de terrain / P. Aebischer
- Données météorologiques et climatiques numériques pour l’aide à la décision et l’économie d’entreprise / K.G.Gutbrod
- VitiProtect – Prévision du mildiou de la vigne basée sur l’IA / S. Schneider
- Utilisation de l’intelligence artificielle dans le secteur de l’assurance / G.Barloggio
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